MISSA GRAECA &
PSEUDO-BYZANTIN
Une ambassade de clercs venus de Constantinople à la cour palatine d’Aix-la-Chapelle vers 802 a apporté un élan de composition de chants en grec dans les monastères et cathédrales de l’Europe latine. Non seulement St-Denis mais encore bien des centres d’Angleterre à l’Aquitaine, jusqu’en Bavière cultivent le grec, se modélisant peut-être sur des chants byzantins, mais encore inventant des formes musicales nouvelles et inédites. Un souffle créatif qu’on ne retrouvera plus après le schisme avec les orthodoxes de 1054…
4 à 7 chanteurs. Programme de recherche en collaboration avec Nina-Maria Wanek (Université de Vienne, Autriche)
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